Alors qu’il pleut sur la ville au moment où j’écris ces lignes, je repense à l’été en bord de mer, à cette plage bordée de pins. Je revois leur tronc rugueux et incliné par le vent de mer. Le jour où je les ai dessinés, il faisait beau, chaud même et leur ombre odorante était la bienvenue. La lumière était vive et le sable surexposé disparaissait. Seuls, restaient les arbres.