Parfum d’enfance

Cette image a été réalisée pour un magazine qui ne l’a finalement pas publiée. Elle évoque des odeurs qui me viennent de l’enfance : celles du mimosa et des pins. 

Détour par Le Croisic

En ballade au Croisic, c’est l’occasion de faire quelques dessins.

Rivages

La douceur apaisante du bord de mer quand cheveux au vent et narines emplies d’embruns on peut laisser flâner son regard sur un rivage éloigné.

Souvenirs de La Havane

Scènes aperçues dans les rues de La Havane lors d’un ancien voyage. En revoyant ces images, je me rappelle de douceur mêlée à une certaine langueur. Un monde en attente…

Solide comme un roc

Et je dessine encore ces rochers impassibles, à la résistance têtue et vaine face à l’éternel assaut de l’onde. Avant de se laisser rouler en petits grains que la mer finira par noyer ils se posent là, le ventre face au ciel, sentinelles aux avant-postes des marées, leur cuirasse striée de toutes parts, vieux soldats oubliés.

Séduction maritime

La mer ne fait pas que danser le long des golfes clairs. Elle gigotte aussi, s’agite, se démène et parfois se jette contre des rochers insensibles à ses ondulations. Cette parade incessante, si elle laisse les rochers de granit et les falaises de grès, me fascine. Et bien que n’étant pas l’objet de cette danse de séduction, je succombe encore. C’est pourquoi je m’approche, au risque de me faire tremper alors qu’elle jette un bras pour enlasser ces rocs, qu’elle se glisse entre ces fentes minérales ou se couche voluptueusement sur le sable. Et là, je dessine…